Nous avons visité le musée des ondes Émile Berliner samedi le 28 octobre en petit groupe. Une impressionnante collection d’artéfacts nous y attendait.
On se promène de façon autonome dans ce musée très bien aménagé, où
divers objets ayant rapport au son : radio, enregistrements sonores (musique, voix) sont clairement identifiés et leurs diverses spécifications très bien décrites.
Dès l’entrée, il y a des artéfacts exposés, notamment un gramophone RCA Victor au pavillon imposant avec le chien Nipper, (représentant La voix de son maître des appareils RCA) qui veille sur l’objet. Un peu plus loin, Francine veille sur le chien!
Des passionnés de son répondent avec patience et gentillesse aux questions sur les divers objets et technique d’enregistrement e. Dans cette section se trouvent des installations d’enregistrements sur bande magnétique et l’ancêtre de ces machines, l’enregistreuse à fil (on le voit à peine tellement il est mince)
Dans cette même salle, on retrouve un superbe phonographe datant du début 1900. Il s’y trouve une curiosité : une reproduction d’un satellite canadien Anik-B, lancé en décembre 1978 en présence de la gouverneure de l’époque Jeanne Sauvé.
Dans l’espace suivant se trouve un graveur de disque avec différents modèles. On peut aussi trouver l’ancêtre des enceintes de son, un meuble ressemblant à un secrétaire, objet magnifique en bois. Sont également exposés différents modèles de radios servant à différents usages : radios usuelles, radios en bois, mini radios transistors de touts formats.
Un peu plus loin, on découvre l’historique de la famille Berliner qui a œuvré dans le domaine du son de père en fils
Il y a un écran interactif comprenant des questions auxquelles il est facile de répondre une fois la visite terminée.
Visite gratuite, très instructive et agréable, retraçant les progrès constants réalisés par des pionniers dans le domaine d’instruments d’information et de divertissements ou le son occupe toute la place.
Pour compléter, voici un lien qui vous en apprendra davantage Musée des ondes Émile Berliner — Wikipédia (wikipedia.org)
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